1914-1918

L'arbre de la victoire



Une lettre du Préfet de l'Oise en date du 4 novembre 1920, invite les municipalités à planter le 11 novembre un arbre commémoratif de la victoire et de la libération de l'Alsace-Lorraine.
Dans sa séance du 5 novembre 1920, le conseil municipal de Liancourt-Saint-Pierre décide donc de planter un tilleul sur la place à l'embranchement des rues de Boubiers et du Général Ménard.
La plantation a lieu le jeudi 11 novembre 1920.
Ayant atteint aujourd'hui une hauteur trop importante, la municipalité décide d'élaguer le tilleul d'environ la moitié de sa hauteur.
Cette opération a lieu le lundi 23 avril 2007, soit 87 ans après sa plantation.
 

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Plaque commémorative de l'église

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Monument aux morts de Liancourt-Saint-Pierre



Le 21 février 1921, un décret du Président de la République Alexandre Millerand, approuve les délibérations par lesquelles les conseils municipaux ont décidé à titre d'hommage public, l'érection de monuments à la mémoire de leurs enfants morts pour la France, ou l'apposition d'une plaque commémorative.

La délibération du conseil municipal de Liancourt-saint-Pierre approuvant la construction du monument aux morts dans le cimetière, est datée du 29 octobre 1920.
Les crédits inscrits au budget de la commune s'élèvent à 1400 frs et le produit de la souscription publique s'élève à 2758 frs.
Les travaux sont réalisés par l'entreprise de maçonnerie Champagne-Sédille de Liancourt-saint-Pierre, dont le devis initial s'élève à 4073 frs.
La construction du monument est approuvée par le préfet de l'Oise le 3 mars 1921.

Le 25 mars 1921, la commune adresse une demande au préfet de l'Oise afin d'obtenir 4 obus à titre de trophées  pour orner le monument aux morts.
Le 23 mai 1921, le ministère des finances fait parvenir au maire de Liancourt-saint-Pierre, un arrêté de cession qui attribut à la commune quatre obus de 270 d'un poids de 120 kg chacun, à prendre à l'entrepôt de munitions de Châteaudun.
Le 26 mai 1921, le directeur de l'entrepôt de munitions adresse un courrier au maire afin de connaître l'adresse de livraison des obus ainsi que la gare destinataire.
Les obus sont expédiés vers la gare de Liancourt-saint-Pierre le 31 mai 1921, au nom de M. Champagne.
La facture de l'entreprise Champagne-Sédille datée du 17 juillet 1921 s'élève à 181,80 frs




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Morts pour la France

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Lorsque la guerre éclate en 1914, un ordre de mobilisation générale est lancé ;
54 Liancourtois sont alors mobilisés pour partir au front.
Ils ne s'imaginent pas alors que cette guerre durera quatre longues années et sera une véritable boucherie.
22 de ces Liancourtois trouveront la mort sur les champs de batailles et certains reviendront mutilés.
 
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Eugène Beauval



Eugène Elie Beauval naît à Liancourt-saint-Pierre (Oise) le 13 mars 1893.
Fils d'Eugène Théophile Beauval et de Sylverine Léonie Chappart, il est domicilé aux Groux, hameau de Liancourt-saint-Pierre et exerce la profession de maçon.
Il est mobilisé en 1913 au recrutement de Beauvais (Oise) sous le numéro 577.
Il est intégré à la 2ème batterie du 25ème régiment d'artillerie en tant que 2ème cannonier conducteur, sous le matricule 7179.
Il est tué à l'ennemi à Souain (Marne) le 25 septembre 1915 à 18 heures.
Son acte de décès est transcrit à l'état civil de Liancourt-saint-Pierre le 27 janvier 1916 à 11 heures par Antoine Philippe Dumont, Maire.
D'abord inhumé au nord-ouest de Souain, son corps est transféré au cimetière militaire de Souain, le 03 août 1920, dans la tombe numéro 97.
Il repose aujourd'hui dans la nécropole nationale « La Crouée » située sur la commune de Souain-Perthes-les-Hurlus, où reposent 30734 soldats français.
Sa sépulture est située dans le carré 2°E, sous le numéro 2653.

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Eugène Bouyeron



Eugène Léon Bouyeron naît à Fayl-Billot (Haute-Marne) le 21 mars 1888.
Fils de Jules Bouyeron et de Clémence Cornuel, il est domicilié à Gournay-en-Bray (Seine-Maritime) et exerce la profession de peintre.
Il épouse Cécile Julienne Legras à Liancourt-Saint-Pierre, le 14 mai 1910.
Mobilisé en 1908 à Rouen (Seine-Maritime), il est soldat au 53ème régiment d'infanterie sous le matricule 0963.
Décédé des suites de ses blessures à l'ambulance 7/4 sur la commune de Billy-le-Grand (Marne), le 28 juillet 1917 à 14h30.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Gournay-en-Bray le 06 mai 1919 à 14h par Prosper Désiré Marie, adjoint au maire.


Marin Courtois



Marin Courtois naît à Rouvray-Catillon (Seine-maritime) le 03 mars 1886.
Fils de Léonard Eugène Courtois et de Hyacinthe Deshaye domiciliés à Sigy-en-Bray.
Il épouse Augustine Rassinot à Liancourt-Saint-Pierre le 18 janvier 1913.
Il est domicilié à Liancourt-Saint-Pierre où il exerçait la profession de vacher.
Mobilisé en 1906 à Rouen (Seine-maritime) sous le n° 12, il devient soldat de 2ème classe au 112ème régiment d'infanterie, 6ème compagnie, sous le matricule 015342BIS.
Il meurt à l'hôpital temporaire 14, rue de Sénéfontaine à Beauvais, le 28 mars 1918 à 15h, des suites d'une maladie contractée en service.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre le 16 août 1918 à 11h par le maire Antoine Philippe Dumont.
Il est inhumé dans le cimetière de Liancourt-Saint-Pierre.


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Albert Delaunay



Albert Pierre Marie Delaunay naît à Liancourt-Saint-Pierre le 25 mai 1894.
Fils de François Julien Delaunay et de Aimée Souhy, domiciliés à Liancourt-Saint-Pierre.
Mobilisé en 1914 à Beauvais (Oise) sous le numéro 611, il devient soldat au 43ème régiment d'infanterie, 4ème compagnie, sous le matricule 8246.
Il meurt à l'ambulance d'armée N°14 à Jonchery-sur-Vesle (Marne) le 26 août 1915 à 17h, des suites de blessures de guerre.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre (Oise) le 13 novembre 1915 à 11h par le maire Antoine Philippe Dumont.
Il repose dans le caveau de famille au cimetière municipal de Liancourt-Saint-Pierre.
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Moïse Flagella



Moïse Flagella naît à Vézilly (Aisne) le 14 novembre 1878.
Fils de Alexandre Henri Flagella et de Elise Jolly, il est marié à Jeanne Legras.
Il est mobilisé en 1898 au recrutement de Reims (Marne) sous le numéro 1273.
Il est soldat à la 6ème section d'infirmiers militaires sous le matricule 2103.
Il meurt à l'hospice civil de Joinville (Haute-Marne) le 06 novembre 1914 à 6 heures du matin, d'une tuberculose contractée en service.
Il avait été admis à l'hôpital le 28 octobre 1914.
Son acte de décès a été reçu et transcrit à l'état civil de Liancourt-saint-Pierre le 26 décembre 1914 à 15 heures par Antoine Philippe Dumont, Maire.
Il repose dans la nécropole nationale « la ferme de Suippes » à Suippes (Marne) où reposent 7429 soldats de la première guerre mondiale, dans la tombe numéro 2421.

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Maurice Flanet



Maurice Hyacinthe Flanet naît à Boubiers (Oise) le 12 septembre 1888.
Fils de Pierre Flanet et de Célestine Barbier, domiciliés à Lattainville (Oise).
Il épouse Georgette Maillard le 21 juin 1913.
Mobilisé en 1908 à Beauvais (Oise) sous le numéro 645, il devient soldat de 2ème classe au 128ème régiment d'infanterie sous le matricule 0228.
Il est tué à l'ennemi à Riaville (Meuse) le 07 avril 1915.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre le 25 septembre 1915 à 11h par le Maire Antoine Philippe Dumont.


Eugène Floury



Alcide Louis Eugène Floury naît à Songeons (Oise) le 09 juillet 1880.
Fils d'Alfred Eugène Floury et de Louise Eugénie Erneste.
Il épouse Marguerite Commandeur le 26 septembre 1908.
Il réside à Liancourt-Saint-Pierre où il cumule les fonctions d'instituteur et de secrétaire de Mairie.
Son épouse le remplacera à la Mairie après son départ au front.
Mobilisé en 1900 à Beauvais (Oise) sous le n°35, il devient caporal au 51ème régiment d'infanterie, 11ème compagnie, sous le matricule 010642.
Il est tué à l'ennemi à Berny-en-Santerre (Somme) le 05 octobre 1916 à 23h.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre  le 19 février 1917 à 10h par le maire Antoine Philippe Dumont.
Il est inhumé au cimetière de Liancourt-Saint-Pierre.


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Démosthène Gentet



Démosthène Léonidas Gentet naît à Saint-Germain en Laye (Val d'Oise) le 09 juillet 1888.
Fils de Sylvain Auguste Gentet et de Louise Adrienne Charpentier, il est domicilié à Liancourt-Saint-Pierre.
Mobilisé en 1908 à Beauvais (Oise) sous le numéro 630, il devient Maréchal des logis au 212ème régiment d'artillerie de campagne, 27ème batterie, sous le matricule 5073.
Il meurt à la position de batterie, à trois cents mètres au nord de Sancy (Marne), à la ferme d'heurtebise, sur la commune de Ville-Dommange, des suites de blessures de guerre, le 15 juillet 1918 à 19h15.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre le 20 septembre 1919 à 15h par le Maire Antoine Philippe Dumont.
Il est inhumé au cimetière de Liancourt-Saint-Pierre.


 
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Gaston Gervoise



Gaston Georges Gabriel Gervoise naît à Froissy (Oise) le 09 mars 1888.
Fils de Gaston Zéphir Adolphe Gervoise et de Marie Adeline Virginie Lefebvre, il était époux de Eugénie Georgette Jacques, domiciliée 37 boulevard Arago à Paris (13ème).
Mobilisé en 1908 à Rouen (Seine-Maritime) sous le numéro 553, il devient soldat de 2ème classe au 5ème régiment d'infanterie sous le matricule 4678.
Tué à l'ennemi à Douaumont (Meuse) le 1er juin 1916, son acte de décès a été transcrit à l'état civil du 13ème arrondissement de Paris le 20 septembre 1919, en exécution d'un jugement du tribunal civil rendu le 07 août 1919.


André Lamy



André Aimé Lamy naît à Liancourt-saint-Pierre (Oise) le 07 mars 1894.
Fils de Aimé Désiré Lamy et de Adèle Alphonsine Léonie Dubos, il est domicilié à Liancourt-saint-Pierre et exerce la profession d'ouvrier agricole.
Il est mobilisé en 1914 au recrutement de Beauvais (Oise) sous le numéro 634.
Sergent au 103ème régiment d'infanterie, 4ème compagnie, sous le matricule 4495, il est blessé à Roye (Somme) le 27 septembre 1914.
Il est tué à l'ennemi d'une balle dans la tête, à Perthes-les-Hurlus (Marne) le 24 février 1915 à 12 heures.
Son acte de décès est transcrit à l'état civil de Liancourt-saint-Pierre le 29 mars 1916 à 16 heures, par Antoine Philippe Dumont, Maire.
Il repose dans la nécropole nationale « la croix ferlin » à Bligny (Marne) où sont inhumés 4653 soldats français, dans la tombe numéro 1297.


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Guillaume Le Bescond



Guillaume Marie Le Bescond naît à Trédrez (Côtes-d'armor) le 22 juin 1875.
Fils de Jean-Marie Le Bescond et de Marie-Jeanne Le Bourva.
Mobilisé en 1895 à Guingamp (Côtes-d'armor) sous le n° 476, il devient soldat de 2ème classe au 73ème régiment territorial d'infanterie sous le matricule 15714.
Recensé à Labosse (Oise) en 1906, il était époux de Louise Léontine Marchand, née au Mesnil-Théribus (Oise) en 1880.
Il est tué à l'ennemi à Langemark (Belgique) le 10 novembre 1914.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre le 20 octobre 1915 à 11h par le maire Antoine-Philippe Dumont.


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Léon Legras



Léon Louis  Legras naît à Liancourt-Saint-Pierre (Oise) le 21 septembre 1884.
Fils de Elie Legras et de Marie Lefevre, il est domicilié à Liancourt-Saint-Pierre où il exerce la profession de manouvrier.
Mobilisé en 1904 à Beauvais (Oise) sous le numéro 705, il est soldat de 2ème classe au 251ème régiment d'infanterie sous le matricule 017160.
Il est porté disparu à la Neuville-cormicy (Marne) le 23 septembre 1914.
Dans une lettre en date du 10 juin 1920, le ministère des pensions souhaite engager une instance en déclaration de décès.
Léon Louis Legras est déclaré officiellement mort le 23 septembre 1914, par un jugement du tribunal civil de Beauvais rendu le 26 novembre 1920.
Le jugement déclaratif de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre le 26 décembre 1920 à 11h par le Maire Antoine Philippe Dumont.


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Louis Legras



Louis Alfred Legras naît à Liancourt-Saint-Pierre (Oise) le 25 août 1886.
Fils de Elie Legras et de Marie Lefevre, il est domicilié à Fay-les-étans (Oise) et excerce la profession d'ouvrier agricole.
Mobilisé en 1906 à Beauvais (Oise) sous le numéro 670, il est soldat de 2ème classe au 251ème régiment d'infanterie, 24ème compagnie, sous le matricule 0645.
Porté disparu à la Neuville-cormicy (Marne), il est déclaré officiellement mort le 14 septembre 1914, par un jugement du tribunal de Beauvais rendu le 22 octobre 1920.
Le jugement déclaratif de décès a été transcrit à l'état civil de Fay-les-étangs (Oise) le 20 novembre 1920 à 17h par le Maire Louis Marie Tison.


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Elie Legras



Elie Moïse  Legras naît à Liancourt-Saint-Pierre (Oise) le 30 mars 1881.
Fils de Elie Legras et de Marie Lefèvre, il est domicilié à Liancourt-Saint-Pierre où il exerce la profession de journalier.
Mobilisé en 1901 à Beauvais (Oise) sous le numéro 872, il est soldat de 2ème classe au 51ème régiment d'infanterie, 9ème compagnie sous le matricule 012714.
Tué à l'ennemi à Berny-en-santerre (Somme) le 29 novembre 1916.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre le 31 janvier 1917 à 11h par le Maire Antoine Philippe Dumont.


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Maurice Lobjois



Maurice Pierre Lobjois naît à Paris (4ème) le 08 septembre 1893.
Fils de Suzanne Lobjois et de père inconnu, il exerce la profession de journalier à Liancourt-Saint-Pierre.
Mobilisé en 1913 au 6ème bureau de la Seine, sous le numéro 2983, il devient soldat au 331ème régiment d'infanterie, 18ème compagnie, sous le matricule 6258.
Il est tué à l'ennemi à Vauquois (Meuse) le 18 août 1915.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Paris (12ème) le 11 novembre 1915 à 9h30.
Il repose dans la nécropole nationale de Vauquois (Meuse) dans la tombe numéro 1833.


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Emilien Marcombe



Emilien Louis Anatole Marcombe naît à Liancourt-saint-Pierre (Oise) le 22 mai 1883.
Fils de René Blodomir Emile Marcombe et de Emilie Marceline Chédeville, il est domicilié au 86 rue Truffaut à Paris puis en dernier lieu à Liancourt-saint-Pierre.
Il est mobilisé en 1900 au recrutement de Beauvais (Oise) sous le numéro 753.
Il épouse Jeanne Perrin le 18 septembre 1906.
Il est intégré en tant que sergent au 251ème régiment d'infanterie, 24ème compagnie, sous le matricule 010622.
Il meurt sur le champs de bataille à Cumières (Meuse) aux alentours du bois des Caurettes à 7 km au nord de Verdun, dans l'explosion d'une tranchée, le 13 avril 1916 à 5 heures du matin.
Il n'a pu recevoir de sépulture, son corps ayant été anéanti par l'explosion.
Ses restes reposent probablement à l'ossuaire de Douaumont (Meuse).
Son acte de décès a été transcrit a l'état civil de Liancourt-saint-Pierre le 29 juin 1916 à 11 heures, par Antoine Philippe Dumont, Maire.


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Jean-Marie Mourlon



Jean-Marie Alexandre Mourlon est né à Arfeuille-Châtain (Creuse) le 06 novembre 1887.
Fils de Michel Mourlon et de Augustine Molusson, il était domicilié à Saint-Vincent des Landes.
Avec son épouse Marie-Louise Joséphine Fralin, ils résident au hameau du Vivray, à Liancourt-Saint-Pierre (Oise).
Ils avaient un fils, Alexandre Marcel Mourlon,né le 06 juillet 1914.
Il exerce la profession de maçon.
Mobilisé sous le n° 1082 (classe 1908), il est condamné par un jugement du tribunal correctionnel de la Seine du 12 août 1908, à un mois de prison pour vol de récoltes.
Incorporé au 138ème régiment d'infanterie à compter du 06 octobre 1908, il est envoyé en disponibilité le 25 septembre 1910 et passe dans la réserve d'armée, le 1er octobre 1910.
Rappelé à l'activité par le décret du 1er août 1914, il rejoint le front le 03 août 1914 où il est affecté au 321ème régiment d'infanterie.
Signalé disparu dans les lignes ennemies depuis le 20 septembre 1914, son corps est retrouvé et identifié le 29 septembre à Confrécourt sur la commune de Nouvron-Vingré (Aisne).
Aucun acte de décès n'ayant été rédigé à l'époque, le jugement de constat de décès est rendu par le tribunal civil de Châteaubriant (Loire-Atlantique), le 12 juillet 1917.
Jean-Marie Alexandre Mourlon repose dans la nécropole nationale de Vic-sur-Aisne (Aisne), carré G, tombe n°151.

Léon Petitpas



Léon Félix Petitpas naît à Liancourt-saint-Pierre (Oise) le 17 février 1883.
Fils de Pierre Félix Petitpas et de Marie Léonie Blain, il est marié à Béatrice Marie Anne Raoult et est domicilié à Ons-en-Bray (Oise) où il exerce la profession de cultivateur.
Il est mobilisé en 1909 au recrutement de Beauvais (Oise) sous le numéro 798.
Il est soldat de 2ème classe au 120ème régiment d'infanterie, 2ème compagnie, sous le matricule 016930.
Il est tué à l'ennemi au bois de la Caillette près de Verdun (Meuse) le 16 avril 1916.
Le jugement de décès rendu le 04 mars 1920 par le tribunal civil de Beauvais a été transcrit à l'état civil d'Ons-en-Bray le 21 avril 1920 à 18 heures.
Son corps est rapatrié en train vers la gare de Liancourt-saint-Pierre le 28 mars 1930 dans le wagon numéro 34618.
Il repose aujourd'hui dans la cimetière municipal de Liancourt-saint-Pierre.


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Edouard Teyssot


Edouard Georges Teyssot naît à Loconville (Oise) le 28 janvier 1888.
Fils de Eugène Teyssot et de Louise Paux, domiciliés à Loconville puis en dernier lieu à Liancourt-Saint-Pierre.
Il était l'époux de Angèle Amélie Gilles et résidait à Boubiers (Oise).
Mobilisé en 1908 au recrutement de Beauvais (Oise) sous le numéro 590, il devient soldat de 2ème classe à la 2ème section d'infirmiers militaires à Nantes (Loire Atlantique), sous le matricule 01973.
Il meurt le 18 avril 1917, à l'hôpital militaire Broussais de Nantes (Loire Atlantique), des suites d'une maladie contractée en service.
Son acte de décès est transcrit à l'état civil de la commune de Boubiers (Oise), le 23 avril 1917.
Edouard Teyssot repose au carré militaire "Bouteillerie" à Nantes (Loire Atlantique), carré Q, rang 8, tombe n°3.

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Léon Van Twembeke



Léon André Van-Twembeke (orthographié Van-Troenbeke suite à une erreur de retranscription) naît à Burelles (Aisne),
le 07 septembre 1892.
Fils de Théophile Van-Twembeke et Marie-Hermine Drepsin, il exerce la profession de manouvrier.
Il se marie à Liancourt-Saint-Pierre, le 19 janvier 1918 avec Marie-Rose Lefèvre.
Il meurt le 09 juin 1918 et est inhumé en Belgique, au cimetière militaire de Hoogstade, sur la commune d'Alveringem. 
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Henri Vasseur



Henri Colin Clovis Vasseur naît à Lebiez (Pas-de-Calais) le 05 mars 1872.
Fils de Alphonse Vasseur et de Sophie Démarest, il était époux de Caroline Rufenach et était domicilié au Vivray, hameau de Liancourt-Saint-Pierre.
Mobilisé en 1892 à Saint-Omer (Pas-de-Calais) sous le numéro 2463, il est soldat de 2ème classe au 222ème régiment d'infanterie territoriale, 5ème compagnie, sous le matricule 5502.
Décédé à Senlis (Oise), à l'hôpital complémentaire d'armée n°44, le 30 octobre 1918 à 19h, des suites d'une broncho-pneumonie grippale contractée en service.
Son acte de décès a été transcrit à l'état civil de Liancourt-Saint-Pierre (Oise) le 11 octobre 1919 à 15h par le Maire, Antoine Philippe Dumont.
Il repose dans la nécropole nationale de Senlis (Oise) dans la tombe n°38.


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Henri Vaudeville



Henri Vaudeville naît à Granges-sur-Volognes (Vosges) le 13 janvier 1896.
Fils de Joseph Vaudeville et de Marie Virginie Didelot, il était époux de Aurélie Lucie Couturier et était domicilié en dernier lieu à Mirecourt (Vosges).
Mobilisé en 1916 à Neufchâteau sous le numéro 109, il devient soldat de 2ème classe au 28ème bataillon de chasseurs à pied sous le matricule 10078.
Il est tué à l'ennemi le 12 septembre 1918 à Vauxaillon (Aisne).
Un jugement déclaratif de décès est rendu le 03 mai 1922 par le tribunal de Mirecourt (Vosges).
Ce jugement est transcrit à l'état civil de Mirecourt le 11 mai 1922 à 16h.
Henri Vaudeville repose dans la nécropole nationale de Vauxaillon (Aisne) dans la tombe n°486.



Commémoration du 11 Novembre 2007

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Commémoration du 11 Novembre 2008 - 90ème anniversaire de l'Armistice

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Commémoration du 11 Novembre 2009

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mise en ligne : 14 octobre 2007          mise à jour : mercredi 7 février 2024Webmaster : benjamin.velluet@gmail.com